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La cérémonie d’hommages à DJ Arafat qui avait bien débuté le vendredi 30 août s’est mal achevée le lendemain samedi 31 août 2019, avec la profanation de la tombe de la star du couper-décaler, après son inhumation au cimetière de Williamsville.
Ils ne méritent plus leurs surnoms de Chinois, les fans de DJ Arafat. Il faut désormais les appeler des Saints Thomas. Le « spectacle » qu’ils ont offert au monde entier est tout simplement horrible. Déshabiller la dépouille du Daïshikan !!! Il faut vraiment être fou pour le faire.
Jusqu’à l’inhumation de DJ Arafat, ces faux Chinois croyaient que leur idole était toujours vivante. Et qu'il s'agissait d'un buzz comme l'artiste aimait à en faire de son vivant. Et ils ont poussé le bouchon très loin, jusqu’à aller profaner sa tombe, juste pour vérifier si c’est bel et bien DJ Arafat qui était couché dans le tombeau.
Ils ont franchi la ligne rouge en enlevant les vêtements de leur idole, couchée, inerte dans le cercueil. Comme si cela ne suffisait pas, ils voulaient voir les signes distinctifs de Yorobo, ses tatouages et autres…"C'est pas Yoro, ce n'est pas lui", scandaient les Saints Thomas.
Et pourtant, la vérité est là, cruelle et implacable. Ces fans ont tué Arafat pour la deuxième fois, malgré les nombreux messages lancés la veille par la Yoro Gang, les appelant à rester dignes dans la douleur.
Malgré toutes les preuves tangibles avec l’exposition du corps de DJ Arafat, dans le rond point du stade Félix Houphouët Boigny. Les Chinois ont osé lui faire ça ! Ouais.
La tension est était déjà montée à l’entrée du cimetière de Williamsville où ils ont bouché tous les accès, en vue d’empêcher l’inhumation de l’artiste. La police a dû faire usage de gaz lacrymogène pour dégager le passage.
C’était mal connaitre ces Chinois, pardon, ces Saints Thomas. Ils avaient un autre plan, celui-ci très macabre : profaner la tombe de DJ Arafat, en déshabillant le corps couché dans le cercueil. Ils ont d'abord enlevé sa cravate avant de le déboutonner. Ils ont réussi à tuer leur idole, ces Chinois. C’est sûr que le Daïshikan ne sera plus fier de sa Chine. Dommage !
 
Adolphe Angoua

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