"Je ne vous appelle plus serviteurs, parce que le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; mais je vous ai appelés amis, parce que je vous ai fait connaître tout ce que j'ai appris de mon Père." (Jean 15:15)
Or, "Dieu n'est pas le Dieu des morts mais des vivants" (Matthieu 22:32) et voici ce qu'Il veut : "Dis-leur : je suis vivant ! dit le Seigneur, l’Éternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie" (Ézéchiel 33:11) ; "Car je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l’Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. Vous m'invoquerez, et vous partirez ; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre cœur." (Jérémie 29:11-13)
Suite à cette épreuve, Joyce est devenue meilleure que si elle n'avait pas été éprouvée (Actes 2:35 : "j'aie placé tes ennemis comme un escabeau sous tes pieds.") ; elle est devenue plus forte (Philippiens 4:13 : "Je peux tout en celui qui me rend fort.") ; elle est devenue plus compatissante et capable de comprendre ceux qui éprouvent des souffrances terribles (Hébreux 4:15 : "Nous n’avons pas, en effet, un grand prêtre incapable de compatir à nos faiblesses ; il a été éprouvé en tous points à notre ressemblance, mais sans pécher") et plus capable de les secourir (Hébreux 2:18 : "Car puisqu’il a souffert lui-même l’épreuve, il est en mesure de porter secours à ceux qui sont éprouvés.").
Elle peut offrir un message d'espoir crédible à toutes les autres petites victimes d'inceste et de pédophilie. Et par la force de sa prière, de sa souffrance priante sur la Croix, elle a pu obtenir la conversion de son père qui, sans le pardon de sa fille, n'aurait pas compris que Dieu pouvait et voulait lui pardonner et donc qu'il y avait encore un espoir pour lui. C'est un témoignage pour tous les criminels : avec la grâce de Dieu, ils peuvent encore se repentir, être pardonnés et changer de vie.
Et surtout, celui ou celle qui a été habitué à endurer la souffrance, même contre son gré, pourra facilement l'endurer volontairement pour l'amour de Dieu et des autres : "Je trouve maintenant ma joie dans les souffrances que j’endure pour vous, et ce qu’il me reste personnellement à souffrir dans les épreuves du Christ, je l’achève en faveur de son corps qui est l’Eglise" (Colossiens 1:24).
SOURCE : Témoignage de Joyce Meyer - "Une vie" : https://www.youtube.com/watch?v=syWE-sDm5VA
