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Au menu de cette revue de presse internationale, mercredi 3 janvier, la possibilité de pourparlers entre les deux Corée, un nouveau tweet vengeur signé Trump. La mobilisation de l’opposition togolaise. Et une nouvelle fin pour l’opéra «Carmen».
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Au menu de cette revue de presse internationale, l'offre de la Corée du sud de tenir des discussions à haut niveau avec la Corée du nord, après la main tendue par Kim Jong-Un.
 
Cette proposition répond à l’appel du dirigeant nord-coréen, qui a exprimé le souhait de meilleures relations avec la Corée du sud et évoqué une possible participation aux jeux Olympiques d'hiver qui doivent s’y tenir en juillet prochain, à Pyeongchang. «Séoul propose que des discussions avec le nord aient lieu mardi prochain», titre The Korea JoongAng Daily, qui précise que ces discussions devraient avoir lieu dans la maison de la paix de Panmunjom, le village frontalier entre les deux Corée, où a été signé le cessez-le-feu de 2953. «Une branche d’olivier venue de Corée du nord», salue The Korea Times. «La proposition surprise de Kim Jong-Un pourrait ouvrir la porte à la paix», commente aussi le journal Hankyoreh, qui estime que la déclaration du cher Leader, qui a assorti sa proposition d’ouverture d’une nouvelle «provocation» destinée aux Etats-Unis, sur «le bouton nucléaire toujours présent sur (son) bureau» - que cette déclaration, était «tournée vers l’avenir», et assortie de «propositions concrètes». «Nous accueillons favorablement le fait que la Corée du nord ait donné des indices sérieux de sa volonté d’améliorer les relations entre les deux Corée dans son discours de Nouvel An». «Ces pourparlers doivent commencer aussi vite que possible pour que la Corée du nord participe aux JO de Peyongchang», poursuit le journal – en ajoutant que les Etats-Unis n’ont «aucune raison de s’opposer à l’amélioration des relations entre le nord et le sud».
 
L’Administration Trump a balayé la perspective d'un dialogue entre les deux Corée si les discussions ne portent pas sur le nucléaire nord-coréen. La déclaration de Kim Jong-Un a aussi suscité un tweet moqueur de son homologue américain: «le leader nord-coréen Kim Jong-Un vient d'affirmer que le «bouton nucléaire est sur son bureau en permanence». Informez-le que moi aussi j'ai un bouton nucléaire, mais il est beaucoup plus gros et plus puissant que le sien, et il fonctionne!», a réagi Donald Trump, suscitant à son tour de nombreuses réactions. A voir notamment du côté du compte Daily Cartoons, toujours sur Twitter. «Hey, mon petit gros, regarde mon bouton », dit Trump dans un dessin. «il est trop grand pour qu’on le tienne d’une seule main. Regarde cette vitre blindée est ces rayures jaunes et noires… Est-ce que le tien est au moins chargé?». Le style Trump, indispose décidément toujours la presse américaine. «Nouvelle année, même Trump», se désole The Washington Post. «2018 avait seulement 7 heures et 12 minutes quand le président Trump a lancé sa première attaque verbale de l’année contre un pays étranger, le Pakistan, qu’il a accusé d’être un «sanctuaire pour les terroristes»». «Après douze mois à la Maison-Blanche, douze mois d’insultes tous azimuts, Donald Trump a réussi l’exploit de réduire le nombre d’amis des Etats-Unis aux doigts des deux mains».
 
Au Togo, des milliers de personnes ont encore défilé dans les rues de Lomé, le week-end dernier, pour réclamer le départ du président Faure Gnassingbé. Depuis le mois de septembre, l'opposition togolaise organise des manifestations quasi hebdomadaires. Une contestation dont les foyers se trouvent à Sokodé et Bafilo, d’après La Croix, qui s’est rendu sur place. A Sokodé, la deuxième ville du pays, à 350 kim de la capitale, l’envoyé spécial du journal raconte avoir perçu «la fracture profonde qui déchire le pays entre les partisans de la famille Gnassingbé, au pouvoir depuis 50 ans, et leurs opposants», qui refusent le projet de réforme de la Constitution, qui permettrait, sous couvert de limiter les mandats présidentiels, à Faure Gnassingbé d’en briguer deux nouveaux à partir de 2020. D’après La Croix, c’est à partir de Sokodé, où la répression des premières manifestations a été brutale, que la protestation aurait ensuite gagné le sud du pays, traditionnellement hostile au ... Lire la suite sur notre site web.

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