Le partenariat d’une durée de cinq ans entre l’UVS et le PSE-J ambitionne d’apporter un cadre adéquat pour faciliter l’insertion des jeunes diplômés.

L’objectif reste donc d’offrir à toutes les catégories de jeunes, de moins de 35 ans et titulaire au minimum d’un Bac+2, une formation professionnelle conforme aux besoins du marché de l’emploi, explique le professeur Moussa Diallo coordonnateur de l’UVS.

En 2017, 1000 étudiants ont été encadrés et en 2018 sur 13000 demandes, 1453 ont été retenus, annonce l’administratrice du PSE-J.

La majorité des étudiants encadrés sont titulaires de Bac + 5 ou Bac+7. Ce qui d’une certaine façon montre que « l’enseignement universitaire n’est pas en adéquation avec les attentes du PSE », constate Aminata Sall Diallo. Il s’agit donc, à travers les missions de formation et d’insertion de compléter et non de suppléer l’enseignement supérieur, ajoute-t-elle.

Pour ce faire, un programme complet de formation portant sur des techniques professionnelles et méthodologiques nécessaires à la conduite de projet d’entreprise est offert aux étudiants encadrés.

De l’avis de Aminata Sall Diallo, il est question d’une discrimination positive en faveur de l’UVS pour que les étudiants aient la même chance que ceux des autres universités

FacebookTwitterFacebookLinkedInPinterest